jeudi 14 février 2008

Saint Valentin

juste après la rentrée (de septembre) cette déclaration d'amour à l'entrée du pont qui mène au lycée...quand je suis passée avant-hier elle était presque effacée...

" Et la pluie efface sur le béton
Les mots des amours de jeunesse"


"Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre
L'un des deux s'ennuyant au pays
Fut assez fou pour entreprendre
Un voyage en un lointain pays"

Ce que La Fontaine ne savait pas c'est qu'ils se retrouvèrent en Nouvelle Angleterre dans la station de Gloucester

8 commentaires:

Olivier a dit…

"Ton sourire est mon soleil..
Ta tendresse est merveille...
Tu es la lumière qui m'illumine,
Une étoile qui me fascine...

Contre toi, je suis libéré(e)...
Dans tes bras, j'aime m'envoler...
Avoir l'impression d'avoir des ailes,
La sensation de toucher le ciel...

Il y a eu des temps magiques,
Des instants romantiques...
Des périodes difficiles...
Des chagrins, des moments fragiles...

Mais voilà un petit bout de chemin,
Que nous avançons main dans la main...
Et pour la Saint Valentin, fête des amoureux,
Ma plume t'écrit ces mots heureux..."

Valérie S. (Art et Poèmes)

Le dessin sur le pont est superbe, dommage qu'il s'efface petit a petit.

Je te souhaite une bonne saint valentin

Marie-Noyale a dit…

Ah bon ,ca se termine bien!!
alors je suis soulagee!
Au mois ce lyceen n'a pas eu peur d montrer ses sentiments.
Joli poeme accompagnateur.
Bonne St valentin pour toi.

alice a dit…

C'est mimi...Je m'étonne que Olivier n'ait rien dit au sujet des pigeons...Bonne Saint Valentin!

Bergson a dit…

C'est peut être les pigeons qui ont mis le dessin du pont !!

hpy a dit…

Quand on est amoureux on a toujours envie de l'écrire, de le dessiner, de le montrer.
Bonne fête de l'amitié aussi.

claude a dit…

Ke de romantisme dans ces deux photos. Une belle déclaration d'amour sur le béton et 2 pigeons tout mignons.

Cergie a dit…

Il est des fables de La Fontaine que j'adore. Sans doute parce qu'elel me veinnent de mon père : le vieiillard et les jouvenceaux : passe encore de batir mais planter à cet âge
Ou la guenon et la noix :
Ma mère m'a menti...

L'amour comme les regrets ne sont jamais éternels, sinon ils seraient gravés sur le marbre des cimetières...

Julie a dit…

Marguerite j'adorde ces deux photos, surtout celle de ce(tte) lyceen (ne) !